Emmanuelle Soulier – Kinésithérapeute, aujourd’hui thérapeute holistique et conférencière
J’ai commencé ma vie professionnelle dans le soin par la validation du diplôme en 2001 pour continuer ma formation dans le corps physique pendant 15 ans. Durant cette période, j’ai suivi les cours d’un médecin spécialiste en rééducation fonctionnelle et rhumatologie, dispensés aux médecins ostéopathes et kiné-ostéopathes .
J’ai également obtenu un diplôme universitaire en maxillofacial afin de mieux comprendre l’importance de la sphère odontognatique (positionnement de la langue, la machoire et les dents) dans les migraines, cervicalgies et problèmes d’épaules sur lesquels les traitements classiques n’ont que peu d’effet.
Par la suite, j’ai suivi une formation en posturologie, en reboutement (technique de Moneyron) et en cohérence cardiaque (David Servan-Schreber).
Riche de cet enseignement, je constatais malgré tout que l’environnement avait un effet important sur le niveau des douleurs ressenties par mes patients. En effet, même si certains examens complémentaires, comme l’IRM et le scanner objectivaient réellement des usures anormales de cartilage, d’os ou de disques, je constatais que quand mon patient était dans un environnement favorable (bonne ambiance à la maison, au travail, vacances), ses douleurs s’atténuaient. A contrario, si l’ambiance environnante se dégradait, quel que soit le domaine, les douleurs s’intensifiaient.
C’est alors que j’ai décidé d’étudier le lien entre le corps et l’esprit par le biais d’un diplôme universitaire de Psycho-somatothérapie à médiation corporelle. Ainsi, j’ai commencé à étudier la psyché humaine, selon les courants freudiens, lacaniens et junguiens afin de ne pas me limiter à un seul auteur de référence.
Forte de cette acquisition de savoir « transgénérationnel », de ces notions « d’inconscient collectif », je me suis aperçue que mes patients avaient beau avoir compris, ils reproduisaient des schémas « hérités » de leurs ancêtres, n’arrivant pas à s’en détacher. Cette filiation se traduisant principalement par des somatisations physiques et/ou morales et des répétitions d’histoire de vie.
C’est ainsi que j’ai pris conscience de l’importance des systèmes énergétiques auxquels nous appartenons tels que le système familial, religieux et sociétal. Et je me suis rendu compte que nous leur donnons, inconsciemment, notre pouvoir décisionnel. La formation en soins énergétiques d’après le protocole du Dr Luc BODIN a été pour moi une véritable révélation. Elle m’a permis notamment de comprendre l’importance de prendre de la distance avec ces systèmes, par le biais de la compréhension, puis de couper les liens énergétiques qui nous rendent prisonniers à notre insu. C’est en approfondissant ces thématiques que je me suis mise à étudier le nouveau paradigme dicté par la physique quantique, qui m’a beaucoup aider à répondre à de mes interrogations également.
En parallèle, j’ai réalisé un test de QI dont les résultats m’ont donné un éclairage intéressant sur le sentiment de différence et d’inadaptation à la société qui m’habitaient depuis toujours. C’est ainsi que je me suis plongée, sans relâche, et avec une joie inouïe, dans les lectures, les vidéos, les conférences, les rencontres et les cours qui étaient en lien avec les enfants et les adultes surdoués, hyperactifs, hypersensibles et autistes.
Ma vision enrichie des soins en tant que thérapeute multidisciplinaire
De part mes questionnements incessants concernant le « mal a dit » – maladie et ma volonté sans relâche d’y répondre, j’ai pu, à l’issu d’un travail sans répis autant intellectuel qu’expérimentiel, trouver des réponses à mes questions et aujourd’hui les transmettre.
Aujourd’hui, il est pour moi fondamental de travailler en équipe avec le patient. En effet, je l’accompagne dans son chemin de prise de conscience de ce qu’il vit, et c’est lui, qui, connaissant SA solution, va pouvoir l’appliquer. Ce sera d’autant plus facile pour lui après le soin énergétique, les chakras ouverts et les « vieilles énergies » transmutées. Ainsi, ses prises de décisions et sa capacité à agir seront beaucoup plus fluides et se passeront naturellement.
Afin que que mon activité professionnelle reste cohérente avec mes pensées, paroles et actions, je continue à me former régulièrement sur mes thèmes de prédilections et suis supervisée par d’autres thérapeutes. Comme je l’ai indiqué dans ma charte de déontologie, je me dois de préserver et d’entretenir mon don et mes connaissances. En effet, pour que le don puisse se développer au mieux, je considère qu’un tiers de dons doit s’associer avec deux tiers de travail.
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